Témoignages collectivités et usagers
Ils vous donnent leur avis sur notre peinture phosphorescente LuminoKrom®
La peinture LuminoKrom® se charge à la lumière naturelle ou artificielle et s’illumine pendant 10 heures, sans alimentation électrique ni émission de CO2. Notre solution de balisage lumineux est déployée en intérieur comme en extérieur depuis 2018, dans différents domaines et pour répondre à de nombreux besoins.
Pistes cyclables, aménagement urbain ou sites industriels : vous pourrez utiliser notre peinture phosphorescente pour sécuriser les déplacements des usagers dans le noir, dès que l’obscurité sera présente ou dès que la source de lumière est coupée.
Découvrez les retours d’expérience de nos clients, et leurs avis sur notre technologie photoluminescente.

« Ce projet s’inscrit dans l’élaboration de lignes vélos portées par le comité piéton vélo. Ce tronçon facilitera la connexion entre Cicé-Blossac et le centre-ville car le chemin existant était difficilement empruntable par tous les cyclistes. Cette voie n’étant pas éclairée, nous avons opté pour un marquage au sol photoluminescent qui capte et stocke la lumière en journée et s’éclaire la nuit. » (Source : Ouest France)
Bruno Delaunay, conseiller municipal délégué aux réseaux et infrastructures

« Un résultat bluffant, un effet réussi et une sécurité renforcée sur la piste cyclable. »
David D., applicateur pour AER

« Les usagers de nuit ne disposent pas tous de leur propre éclairage, soit parce qu’ils ne se conforment pas aux règles de sécurité, soit qu’ils tombent en panne de batterie pour ceux qui ont des systèmes de lumière rechargeable. Il s’agit de leur éviter de heurter les barrières ou de rouler dans les petits fossés. »
Romain Lacaze, chef de projet à la direction des Infrastructures de Caen-la-mer

« Nous sommes très fiers d’être la toute première municipalité au Québec à mettre en place un projet pour tester cette peinture photoluminescente avec les conditions climatiques que nous connaissons chez nous. Ce système permet de renforcer la sécurité des usagers, tout en apportant un guidage lumineux dans les zones peu ou pas éclairées, sans déranger le voisinage. »
Paul Germain, maire de Prévost.

« Le premier bilan est très positif, dans la mesure où l’on voit une efficacité la nuit. Cela permet au cycliste de se rassurer sur un endroit peu éclairé car on ne peut pas mettre de mât vertical d’éclairage public sur le Pâquier. » (Source : Le Dauphiné)
Gilles Bernard, maire-adjoint à la mobilité à Annecy

« Le marquage luminescent de la piste cyclable entre Saint-Apollinaire et Varois et Chaignot est une heureuse initiative. Elle va permettre aux cyclistes de pouvoir utiliser la piste cyclable y compris de nuit, en particulier en hiver quand la nuit tombe rapidement. Ce marquage luminescent offre également l’avantage d’ augmenter l’attractivité de la piste cyclable et surtout d’en renforcer encore la sécurité, ce qui est le point le plus important pour que les cyclistes l’empruntent plus facilement. »
Patrice Hanin, bénévole au sein du Collectif Pour les Voies Vertes de l’Est Dijonnais

« Cela permet dans des zones non éclairées d’avoir un balisage sans avoir à engager de gros travaux de génie civil. Il ne s’agit pas d’un éclairage agressif mais très discret. Ce qui colle à l’ambition municipale de lutter contre la pollution lumineuse. »
Bernard Grégoire, Elu en charge des travaux à Millau

« Les éclairages classiques par lampadaires coûtent très cher à installer et à entretenir. Les marquages photoluminescents sont plus adaptés, aussi parce qu’ils permettent de ne pas rajouter de la pollution lumineuse. »
Sophie Rigault, conseillère départementale en charge des mobilités et de la voirie - Essonne

« On peut suivre les pointillés blancs, cela rassure beaucoup le cycliste de savoir où il roule. L’éclairage public […] ce n’est pas une solution car l’éclairage crée énormément de pollution visuelle pour la faune et la flore. Cela consomme de l’énergie et engendre des coûts pour les communes et la collectivité. Le marquage photoluminescent est sans doute le meilleur compromis. »
Pascal Leclerq, Association Droit au vélo (ADAV)